viernes, 11 de mayo de 2007

Los Bedick/The bedick/Les Bedick


El origen de los Bedick se remonta al Imperio Mandinga, con la llegada de Mali de las famiias Keita y Camara.

Los Bedicks fueron dispersados y gran numero de ellos muertos durante la guerra tribal dirigida por ALpha Yaya, venido desde los macizos de Fouta Djallon en Guinea.


Los supervivientes de esta guerra se escondieron en las cuevas, de donde sólo podían salir durante la noche, que aprovechaban para recoger agua y moler los cereales frotandolos con piedras, ya que no podian llamar la atención del enemigo con el ruido de los molinos.


Vista la gravedad de la situación los hombres ofrecieron al Genio del poblado, los jóvenes mas valerosos para que pudiera insuflarles el poder de poner fin a la guerra. Gracias a esta intervención, los Bedick se salvaron. Alpha Yaya, vuelve con la intención de someterlos definitivamente, el se da cuenta de que los Bedick estaban protegidos por el poder del Genio; no fue esta la unica protección ya que enjambres de abejas combatían al lado de los bedick. Cuando una abeja picaba a un soldado de Alpha Yaya, moría inmediatamente; es asi que los Bedick conocieron finalmente la paz. Alpha Yaya fue el unico, a pesar de que tambien fue picado por una abeja, que pudo volver a su poblado natal en Guinea, donde falleció poco tiempo después.


En la ruta de Magnankandu, a poca distancia de los pozos de invierno, se pueden contemplar dos grandes piedras. Cuentan la historia de una mujer bedick que, junto con sus dos gemelos, no habia podido salir del poblado asediado. Alpha Yaya le corto en dos y el Genio transformó su cuerpo mutilado de la mujer y sus dos hijos.


En Iwol, cerca de la escuela, se puede admirar un enorme baobad sagrado, que con sus 23,30 ms. de circunferencia, es considerado como el mal grande baobab de Senegal. En su tronco hay el cuerpo de un Camara que fue enterrado antes que el arbol echara raices en su tumba.


La antiguedad del poblado bedick de Iwol se remonta al siglo XIII, lo que le hace el primer poblado conocido del departamento de Kédougou, y también de Africa del Oeste.

Tambien se puede contemplar, un "fromager" sagrado, este árbol (bombax costatum) emite sonidos cuando es golpeado con un hacha o un machete.

Otros poblados Bedick de mi zona: Angel, Echouard, Eches, Ousounkala, Inere, Guingara, Dinde-fello Tandambe.

Jean Baptiste Keita, ha colaborado en la información


L'origine exacte des Bedick est mandingue, avec l'arrivée du Mali des familles des Keita et des Camara.

Les Bedick ont été dispersés et grand nombre d'entre eux ont été dispersés et grand nombre d'entre eux ont été tués pendant la guerre tribale dirigée par Alpha Yaya, venu des massifs du Fouta Djallon (Guinée).

Les rescapés de cette guerre se cachèrent dans des cavernes, d'où ils ne pouvaient cependant sortir qu'à la tombée de la nuit. Ils allaient alors puiser de l'eau et ils pilaient les céréales en les frottant avec des pierres, de peur d'attirer leurs ennemis par le bruit des pilons.


Vu la gravité de la situation, les hommes affrirent les jeunes les plus valeureux au Génie du village, pour qu'il puisse leur insuffler le pouvoir de mettre fin à la guerre. Gràce à cette intervention, les Bedick furent sauvés. Pourtant un jour, ALpha Yaya revint avec l'intention de les soumettre définitivement. Il se rendit compte cependant que les Bedick étaient encore protéges par le pouvoir du Génie. Ce n'était d'ailleurs pas la seule protection dont les Bedick bénéficiaient: en effet, des essaims d'abeilles combattaient aussi a leur côté. Quand une abeille piquait un soldat d'ALpha Yaya, celui-ci mourrait immédiatament. C'est ainsi que les Bedick connurent finalement la paix.


Alpha Yaya fut le seul, malgré qu'il eût été lui aussi piqué par une abeille, à pouvoir retourneer dans son village natal en Guinée, où il mourut quelques temps plus tard.

Sur la route de Magnankandu, à peu distance du puits d'hivernage, on peut observer de grandes pierres. Celles ci racontent l'histoire d'une femme bedick qui, ensemble 'a ses deux jumeaux, n'avait pas pu sortir du village assiégé.

Alpha Yaya lui avait tranché le corps en deux, et le Génie transforma en pierre le corps mutilé de cette femme et de ses deux enfants.

À Iwol, on peut admirer un énorme baobab sacré, qui avec ses 23 ,30 ms. de circonférence, est considéré comme le plus gros baobad du Sénégal. Dans son tronc il y a le corps d'un Camara qui avait été enterré là avant que l'arbre ne prenne racine sur la tombe.

L'ancienneté du village bedick d'Iwol et en attestant que son origine remonte au XIIIeme siècle, cela en fait le premier village connu du département de Kédougou, mais aussi de toute l'Afrique de L'Ouest.

On peut contempler un fromager sacré. Cet arbre (bombax costatum) émet des sons s'il est frappé à l'aide d'une hache ou d'une coupe-coupe.

Des autres villages bedicks: Angel, Echouard, Eches, Ousounkala, Inere, Guingara, Dinde-fello Tandambe.

Jean Baptiste Keita, a participe dans cette informatition